« Tu connais la méthode Wim Hof ? J’ai une collègue qui vient de démarrer et elle trouve ça génial ».
Sur le coup, je ne voyais pas de quoi ma sœur parlait puis j’ai réalisé qu’elle faisait allusion au célèbre “Homme de Glace”.
Le Hollandais Wim Hof (photo ci-dessus), s’est fait connaître pour sa capacité à supporter le froid extrême.
Il a par exemple couru un semi-marathon en Arctique pieds nus et il escalade régulièrement les plus hauts sommets du monde, torse nu et en short.
C’est impressionnant mais ça sert à quoi ?
Depuis plusieurs années, les scientifiques essaient de percer le mystère de l’Homme de Glace.
Ils veulent comprendre comment l’exposition régulière au froid influence notre corps et notre santé. Voici ce que leurs travaux nous apprennent : [1]
- Une explication possible des exploits de Wim Hof est que l’exposition régulière au froid augmenterait sa quantité de graisses brunes. Biologiquement, ces « bonnes graisses » augmentent notre température corporelle et nous aident à brûler plus de calories. Ce phénomène thermogénique réduit les risques de surpoids, de diabète et de maladies cardiovasculaires.
- D’autres études suggèrent que l’exposition au froid diminue l’inflammation et facilite la régénération des tissus, notamment en cas de douleurs articulaires ou musculaires.
- Des chercheurs ont également émis l’hypothèse que Wim Hof et ses adeptes sont capables de stimuler leur système immunitaire de manière plus efficace que la moyenne.
Les scientifiques continuent d’étudier l’Homme de Glace pour découvrir comment le froid peut nous aider à vivre en meilleure santé.
En attendant les résultats de leurs travaux, je crois que l’Homme de Glace nous aide déjà à prendre conscience d’une chose encore plus importante pour notre santé.
Avant, le manque mettait notre corps à l’épreuve
Quand Wim Hof s’expose à des températures glaciales, il nous rappelle que nous vivons aujourd’hui dans un confort qui se situe à des années-lumière de tout ce que nos ancêtres ont connu.
Entre le chauffage central, les courses sur Internet, le travail à domicile et le vélo d’appartement, vous pouvez vivre toute une vie sans jamais pointer votre nez dehors !
Même si vous décidez d’aller à l’autre bout du monde, vous pouvez prendre votre voiture, vous garer, entrer dans l’aéroport, prendre l’avion, atterrir, prendre le taxi, arriver à votre hôtel… En quelques heures, vous vous retrouvez à l’autre bout de la planète en ayant passé à peine quelques minutes à l’air libre. Vous avez mangé et bu. Vous n’avez eu ni chaud ni froid. Vous avez passé tout votre voyage dans des lieux propres, confortables, sécurisés.
Or, pour nos ancêtres et jusqu’à récemment encore, ce n’était pas la même histoire !
Notre organisme surmontait régulièrement toutes sortes d’épreuves : le froid, la chaleur, la faim, la soif, l’effort physique, les épidémies… Tous ces défis faisaient partie de notre quotidien. Dans la plupart des cas, on tombait malade ou on mourrait par manque de confort et de sécurité physique ou alimentaire.
Aujourd’hui, dans nos sociétés modernes, c’est l’inverse.
On tombe malade et on meurt d’abord par excès !
Excès de confort (sédentarité). Excès de nourriture. Excès de tabac ou d’alcool. Excès de pollution. Excès de stress. Excès de médicaments.
Conséquence ? Le nombre de personnes en surpoids ou obèses explose. Le diabète et l’hypertension se propagent comme un fléau. On a mal aux articulations. On a mal au ventre. On a mal à la tête. Des millions de personnes souffrent de maladies auto-immunes – des allergies à l’arthrite, du lupus à la maladie de Crohn – et à la maladie de Parkinson, où le corps s’attaque littéralement à lui-même.
C’est comme si nous faisions face à si peu de menaces extérieures que toute notre énergie stockée se retournait contre nous en provoquant ces maladies.
La science a justement montré combien il est important pour notre corps de se confronter à des situations de stress brèves et intenses.
J’insiste bien sur les termes « brèves » et « intenses ». Car c’est toute la différence entre le stress provoqué par une exposition ponctuelle au froid comme le fait Wim Hof et le stress chronique, latent qu’engendre la vie moderne et que l’on considère, à juste titre, comme un poison mortel pour notre santé.
Les bienfaits prodigieux d’un bon coup de stress
De plus en plus de scientifiques pensent que la biologie humaine a besoin de faire l’expérience de situations de stress ponctuelles.
On parle ici notamment de stress physique qui peut être engendré par le sport à haute intensité – qui consiste à produire un effort court mais violent – le jeûne, les séjours en haute altitude ou l’exposition à des températures extrêmes (le froid en particulier).
De nombreuses études scientifiques montrent que ces épreuves, lorsqu’elles sont ponctuelles et ne mettent pas directement votre santé en danger, renforcent votre métabolisme ainsi que les muscles de votre système circulatoire. Vous diminuez ainsi, entre autres, votre risque de surpoids, de diabète et de maladies cardiovasculaires.
L’exposition régulière au froid popularisée par l’Homme de Glace et ses adeptes rentre dans ce cadre et serait l’un des meilleurs moyens pour atteindre ce résultat.
Oserez-vous relever le défi de l’Homme de Glace ?
Une première option est de rejoindre Wim Hof dans les montages polonaises pour apprendre les 3 piliers de sa méthode : respiration, exposition au froid, préparation mentale.
Il vous en coûtera la modique somme de 1799 euros.[2] Mais ne cherchez plus, il n’y a plus aucune place disponible !
L’autre option, plus accessible est de vous entraîner à prendre des douches froides. Commencez par essayer de tenir 30 secondes puis augmentez la durée progressivement. Tournez le thermostat de votre douche aussi bas que possible et laissez l’eau froide couler sur votre tête, votre dos, votre poitrine et vos jambes. Les sensations immédiates sont rarement agréables. Vous allez commencer à respirer rapidement, vos pupilles vont se dilater et vous aurez envie de bouger pour vous garder au chaud. À ce moment-là, vous avez deux objectifs :
- Contrôlez votre respiration et restez Focalisez votre attention et détendez-vous au lieu de contracter vos muscles.
- Une fois que vous vous sentez plus calme, essayez de réprimer votre envie de frissonner, afin que votre corps déclenche la génération de graisses brunes qui vont progressivement vous réchauffer.
Malgré tout, l’exercice de la douche froide popularisé par de nombreux sites de santé est un peu surfait. Car il vous prive de l’ingrédient secret et pourtant essentiel de la méthode Wim Hof.
Se sentir VIVANT au contact des éléments naturels
Si vous vous y intéressez de plus près, vous verrez que Wim Hof ne se contente pas de prendre des douches ou des bains d’eau froide dans sa salle de bains.
Il y a un autre ingrédient essentiel dont personne ne parle : lorsqu’il affronte le froid, l’Homme de Glace le fait de telle sorte qu’il se confronte à la Nature et à ses éléments.
Que cela soit dans une mer d’eau glacée, au sommet d’une montagne enneigée ou sur la banquise arctique, Wim Hof puise son énergie dans la force des éléments naturels avec lesquels il entre en contact.
C’est pour moi le véritable secret de sa méthode et pour cela, vous n’avez pas besoin de prendre des douches froides dans votre salle de bains.
Il y a quelques jours, il faisait ici un temps à ne pas mettre un chien dehors. Il faisait froid. Il pleuvait. Le vent soufflait en rafales. Je lisais tranquillement chez moi, au chaud, lorsque, subitement, je me suis levé, j’ai chaussé mes baskets et j’ai enfilé mes gants.
– « Qu’est-ce que tu fais ??? – me demande Marie mon épouse
– Je vais courir
– Mais tu es fou, tu vas attraper la mort ! »
C’était plus fort que moi
J’y suis allé, sans réfléchir. Une fois dehors, le froid m’a immédiatement glacé les os. La pluie me fouettait le visage. Le vent était si violent que j’arrivais à peine à courir. Je me battais contre les éléments déchaînés. J’ai tenu 30 minutes. Ce fut bref et intense. En rentrant, je me sentais à la fois épuisé et revigoré.
Je ne sais pas si cette expérience a eu un quelconque bienfait sur ma santé. Toutefois, je peux vous dire qu’au moment où je vous écris cette lettre, je n’ai toujours pas attrapé la mort !
Surtout, quand j’y repense, je ressens encore la sensation particulière de ce moment en contact direct avec les forces de la nature. Cette sensation, c’était celle d’être intensément VIVANT.
Et c’est probablement le bénéfice le plus important que vous pouvez expérimenter lorsque vous sortez de votre confort quotidien et que vous allez à la rencontre de la Nature et de ses éléments.
Il y a mille manières de vous ressourcer au contact de la Nature
Vous n’avez pas besoin de plonger dans une eau glaciale, d’affronter la tempête ou de gravir des sommets en short pour puiser dans l’énergie des éléments naturels.
Vous pouvez vous promener sur le sable en bord de mer.
Marcher dans la forêt, le matin à la fraîche.
Faire du ski à la montagne. Rouler à vélo à la campagne.
Il suffit de quitter le confort douillet de votre maison ou de votre appartement et je suis sûr que vous découvrirez beaucoup de nouvelles possibilités.
Le secret est de vous engager pleinement dans ces moments
C’est facile lorsque vous vous confrontez à une situation extrême comme le fait Wim Hof.
Toute votre attention est alors focalisée sur votre respiration, vos sensations intérieures et la confrontation que vous livrez avec votre environnement. Dans ces moments-là, vous ne pouvez penser à rien d’autre qu’au moment présent, en synchronisant votre corps avec la Nature.
C’est plus difficile si vous vous promenez tranquillement en forêt par exemple. Vous devez alors faire l’effort conscient de vous concentrer sur ce qui vous entoure. Ce que vous voyez. Ce que vous entendez. Ce que vous sentez. En même temps que vous vous concentrez sur ce que vous ressentez au niveau de votre corps : l’air qui entre par votre nez et descend dans vos poumons. Les mouvements de vos bras et de vos jambes. La température sur votre peau.
Ainsi, vos pensées, vos soucis s’éloignent pour un moment.
Et vous pouvez enfin vous ressourcer profondément en puisant dans les forces de la nature.
Prenez soin de vous,
Léopold Boileau,
Votre correspondant
P.S. : de plus en plus d’études scientifiques montrent les bienfaits thérapeutiques du contact avec la nature. Pourtant, peu de personnes semblent en avoir conscience. Pensez-vous qu’il s’agit d’un sujet important pour votre santé ? Que faites-vous pour rester connecté avec la Nature ? Partagez vos expériences et vos pensées ici en commentaire.
Je cherche avant tout des remèdes avec les plantes de chez nous Pour les problèmes de rhume et articulaires la gelée royale le miel avec la cannelle le citron avec le thym et le romarin l’ail l’oignon les orties le soleil l’argile l’eau de mer le bicarbonate
l’homéophatie et les oligo éléments sont aussi une bonne solution
je trouve regrètable que l”on fasse des médicaments très diffèrents et qui soignent tout on reçoit une publicité par jour Ils ne sont pas crédibles et c’est une mavaise image des médicaments naturels et sans effets seguondaires et ce n” est pas gratuit
J
Bonjour, j’adhère complètement au fait que la nature est le meilleur endroit où l’on se sent en symbiose et en sécurité ! Quel dommage que nous ne soyons pas plus nombreux à marcher en altitude en montagne car plus on monte plus on échange des “bonjour” aux gens que l’on croise, plus on prend un temps pour s’adresser la parole, alors qu’en bas on ne connaît même pas son voisin !! Est-ce l’altitude ou le besoin de croiser nos semblables qui nous rassure ? Non ! Je crois que c’est le calme et la beauté de l’altitude qui nous rend plus humain !! C’est génial, il faut le vivre… Travailler, se promener dans cette nature qui peut être climatiquement et physiquement agressive apporte bien des joies et nous permet de nous dépasser et d’apprécier d’être en vie ! Le froid, le chaud, le vent la pluie sont tous des éléments qui nous rappellent que c’est pour la vie qu’il existent, pour nous !! Quand on réfléchit à l’organisation de vie de la nature on ne peut que s’incliner et lui faire confiance et surtout la respecter !! Que chacun fasse un geste même petit même insignifiant et surtout durable et nous pourrons continuer à être heureux sur la planète terre !! Soyons contagieux pour la sauvegarde de la nature ! en toute sincérité, pascal
Je suis une adepte de la douche froide, mais après ma douche «normale», c’est-à-dire que je diminue graduellement (en 20 secondes environ) la quantité d’eau chaude jusqu’à ce que l’eau devient glacée (eau du Canada l’hiver). Je reste sous l’eau froide au moins 30 à 45 secondes.
Je me sens revigorée et j’ai une sensation de bien-être et de légèreté en même temps que mon énergie renouvelée!!!
Allez-y ça en vaut le coup!
Mon expérience s’est simplement construite au cours de l’année . je travaillais a proximité d’un lac et dès que je sortais j’étais plongée dans un beau paysage. pour en profiter a la pose de midi je faisais un saut vers la petite plage il y avait des cabines pour se changer et hop une plongée dans l’eau du lac puis retour par la boulangerie pour un sandwich. Un jour les cabines n’avaient plus de porte! Bien sur on était en fin d’automne! Tant pis pour les portes il n’y aura pas beaucoup de monde . et le bains journaliers se sont poursuivis et quand l’hiver s’est installé certains de mes collègues ont demandé a mon équipe de m’empêcher d’aller dans cet eau glacée : c’était fou . Mais personne a réussi. Le jour de Noël, en fin de matinée j’ai fait ma plongée dans le lac . Sur la route il y avait des passants ahuris mais lorsque je suis sortie de l’eau j’ai vu sur la petite plage a coté un homme prêt à se baigner qui m’a demandé si j’étais déjà allée dans l’eau à ma réponse positive il m’a demandé si je pouvais garder ses petits enfants sur la plage car il allait faire un saut pour une petite nage et les petits allaient être seuls.
Cela se transmet.
entièrement d’accord, je fais l’expérience d’1changement alimentaire le plus sain possible, je me suis surpris à 70 ans de me réveiller le matin tout naturellement avec la joie de vivre, sans besoins particuliers, les fêtes de fin d’année ont dérangé la situation, il me faut recommencer, maintenant je sais.
l’eau excellente est primordiale, les aliments sains aussi, notre bonne cuisine française est à revoir, la sobriété alimentaire est de rigueur, la cuisson est a étudier, le cru est vivant
le tri de la malbouffe n’est pas simple pour un novice, il faut tout jeter , le contenant et le contenu
c’est le secret de la vie = à chaque instant il faut recommencer
fruit vitaminé hors repas, crudité en 1er + graines broyées + poisson (cru si possible) + légumes indispensables, pas n’importe lesquels,
pas non plus de frustrations alimentaires, si la “bonne malbouffe” tente ne serais-ce que par mémoire, il faut le faire
mais plus vous avancez dans la qualité, moins il y a de frustrations, moins d’envie du pas bon, voir éventuellement 1 dégout de la mauvaise nourriture = eh eh et le tour est joué
dessert pas indispensable(surtout sans sucre : le jeter même les sucre de qualités, cuire SANS FRITURE à faible température, rejeter graisses animales, pas de porc = animal impur (rejeté par de nombreuses ethnies) les autres viandes OK cuite à basse température et pas trop cuit, viande rouge 1 fois par semaine, établir 1 planning alimentaire
Bonsoir,
Excellente idée de nous rappeler que nous faisons partie et corps avec la Nature !
C’est en vivant ces expériences que nous pouvons ressentir profondément le bien-être de cette relation si fondamentale entre la Nature-et ses éléments et notre nature-et ses éléments.
J’aime me promener en forêt, faire mon jardin, cultiver mes plantes et fleurs d’appartement. Lorsque je suis en forêt je respire profondemment et entoure les rabres de mes bras sentir leur énergie selon les essences d’arbres. Lorsque je jardine prendre la terre dans mes mains et prendre conscience de toute la richesse qu’elle nous procure sans condition. Et lorsque je soigne mes plantes je leur parle et leur passe de la musiqque. Avec le temps j’ai senti les musiues qu’elles préfèrent et lorsqu’elles ont soif un sixième sens m’alerte sans avoir besoin de voir les feuilles molles et retombantes.
J’ai la sensation d’être en communion profonde avec la natrure et ne pourrais pas vivre en ville.
Je confirme . Se frotter aux éléments tels que le froid, la pluie ou le vent, respirer à pleins poumons l’air des sous bois, avoir des activités intenses à l’exterieur et de preference à la campagne où l’air est moins pollué , tout cela depuis ma prime enfance m’a fort bien réussi . A 70 ans je me porte comme un charme
Eis man, ice man, l’homme de glace, hombre hielo, home gel, moroz mushin : oui oui mille fois oui. Pendant 30 mois en Sibérie comme pendant 10 ans en France près de la nature été comme hiver à 0° comme à -30°C une fois par semaine un passage de 30 mn au sauna chaud chaud, PAS le sauna de confort qui est destiné à ceux qui rêvent de perdre quelques bourrelets sous leur Loden ou leur tailleur Armani, non pas le sauna avec abonnement entre gens chic, le vrai comme le bain russe où l’on reste entre amis puis on se jette dans l’eau froide. Douche ou piscine ou s’il y en a la neige et voilà. Une nouvelle vie démarre !
Si vous vivez en climat tempéré l’hiver en sabots ou spartiates nu sous votre k-way avec ou sans maillot de coton en haut et rien ou presque en bas, ballade en forêt où le long du canal ou en faisant le tour du parc voisin 1 fois pour commencer jusqu’à 10 fois, et … la vie est belle !
Le contact avec la nature est absolument indispensable : l’endroit où nous habitons est bordé d’une route excessivement passante et la seule possibilité de se ressourcer est de se lever tôt le matin pour saluer le nouveau jour, de fermer les fenêtres au moment du flux de voitures matin et soir. De plus les avions passant au-dessus laissent dans le ciel des traînées blanches nombreuses… Pourquoi demander des doubles vitrages et une isolation pour le bruit au lieu de mettre en oeuvre une meilleure organisation de la société humaine ?
Ouf, on peut u peu mieux respirer le samedi et surtout le dimanche !
Bien cordialement, et merci beaucoup pour vos missives!!!
Très bon article , c’est tellement vrai . Pendant les vacances de Noël nous avions prévu un séjour en Espagne lorsque notre fils nous a demandé : Pourquoi ne pas aller plutôt sur l Aubrac , là ou on aura froid? C’est ce qu’on a fait , sans regrets et quel souvenir !! On a vu un ciel étoilé comme jamais on en voit , et on est resté longtemps ainsi tête en l’air sans se soucier du froid mordant… Ca me rappelle aussi un jeu qu’on fait lors de randonnées en montagne, on s’amuse à qui tiendra le plus longtemps pieds nus sur un névé, on a jamais été malade !
Bonjour,merci pour cette remise à jour, endurer et sortir de nos vies cotonnées fait énormément de bien, le message simple de votre analyse et d’une réalité a laquelle nos vies d’aujourd’hui nous font oublié la base de la vie.
Personnellement,je vis en pleine nature et avec elle.Tout les jours je marche avec mon chien de 2 à 10km à des rythmes irréguliers.La nature,nous donne déjà beaucoup de plantes médicinales nécessaires pour une bonne santé.je cultive mon jardin en saison et l’hiver avec mon mari nous coupons du bois pour le chauffage..La nature,les paysages m’apportent le réconfort,l’énergie ,l’équilibre….J’ai aussi 70 ans.
il est vrai que moi meme possédant un chien je n’ai d’autre solution formidable s’il en est et habitant en moyenne montagne de le sortir deux fois par jour dernierement il faisait un temps avec des rafales de vent une petite pluie fine et glaçante mais mon toutou me regardant de ses yeux implorants j’ai décidé d sortir grand bien m’en fit je suis revenu au bout d’une demi heure frigorifié mais requinqué incroyable!alors bien sur par mesure de sécurité je suis resté au village pour me promener (risque de chutes de branches d’arbres)sinon les autres jjours c’est un immense plaisir que de se promener en pleine nature et croyez moi pas de rhume pas de toux ni de bronchite la nature fait vraiment bien les choses alors lachez votre voiture et prenez votre pied en marchant!
Merci pour vos courriels. Vous faites partie de cette communauté des éveilleurs de conscience. Espoir, cette communauté grandi, grandi. Espoir !!
Je suis une femme. J’ai 72 ans. Enfant, puis adolescente, avec mes parents nous sortions par tous les temps toute l’année. J’ai gardé cette habitude. Je marche chaque jour 4 km en moyenne, vers la ville mais aussi en forêt proche, cela m’est nécessaire, voire vital. Je pratique la respiration consciente dès que je suis en pleine nature. Je mange Bio je n’ai aucune douleur, je me soigne si besoin par les plantes, les HE, et l’homéopathie.
j’ai fait l’expérien ce de sortir a cette époque on s’oxygène attentif à la nature les bruits oiseau tjs
ravie en rentrant meilleur moral et ca coupe la journée
j’ai fait l’expérien ce de sortir a cette époque on s’oxygène attentif à la nature les bruits oiseau tjs
ravie en rentrant meilleur moral et ca coupe la journée
C’est un élément important mais pas vital. Tout dépend où l’on vit. Là où je vis, la nature peut se montrer redoutablement dangereuse et inhumaine, pas du tout comme les agréables sous-bois de la Dordogne. Mais il m’arrive de faire du «earthing» sur un terrain de golf, ou de caresser une mante religieuse lorsque j’en vois une.. bon c’est vrai, les sous-bois de la Dordogne me manquent, quelquefois..
Bonjour,
Oui, je suis persuadé que le contact avec la nature est bénéfique pour la santé physique et spirituelle de l’homme.
Personnellement je vis en pleine campagne, je commence ma journée par 3 à 4 km de marche soutenue, quelque soit le temps, j’en ai besoin et j’adore ces moments ou je me sens pleinement faisant partie de cette nature si belle et si inspirante dont je ne peux me passer.
J’ai bien sur d’autres activités fonction des saisons . Actuellement je coupe des arbres pour le bois de chauffage. Et j’ai 70 ans .
Bonne santé à tous !