Rappelez-vous le dernier fruit ou le dernier légume que vous avez mangé.
D’où venait-il à l’origine ? Avant, bien avant qu’il ne passe par votre bouche pour entrer dans votre corps ?
Tirez jusqu’au bout le fil de son histoire et vous réalisez que cet aliment est venu, forcément, de notre Terre nourricière. Du sol. De sous vos pieds.
La qualité de vos aliments est d’abord celle de la qualité du sol qui les ont fait naître.
Le sol qui se trouve sous vos pieds est tout sauf un objet inerte. Le sol est un être vivant.
Lorsqu’il est malade, nos aliments meurent. Et notre santé court de grands dangers.
Un royaume souterrain caché sous vos pieds
Si vous regardez le sol et restez en surface, vous ne voyez rien bouger, ou presque. Quelques fourmis peut-être ?
Imaginez maintenant que votre regard passe à l’intérieur du sol – un monde vibrant s’ouvre sous vos pieds !
Rendez-vous compte : une cuillère à café de terre contient plus de micro-organismes vivants qu’il n’y a d’humains sur la planète ! Parmi ces micro-organismes, il y a notamment plus d’un million d’espèces différentes de bactéries, 100’000 espèces de champignons, 1000 espèces d’invertébrés (acariens, collemboles, nématodes, etc.). Il y a aussi les rois de ce milieu, les vers de terre, principaux acteurs de la fertilité des sols. Un sol sain compte une douzaine d’individus par mètre cube. Ce microcosme aère le sol, décompose les résidus des végétaux et les transforme en matière organique de nouveau assimilable par les plantes. [1]
Quand le sol est vivant, il est fertile. Cela veut dire qu’il est rempli de nutriments qu’il transmet généreusement aux plantes, aux arbres, aux fruits, aux légumes. Pour les faire grandir. Pour les rendre beaux et forts. Pour qu’ils soient eux-mêmes gorgés de nutriments et capables de continuer cette chaîne alimentaire qui remonte jusqu’à nous.
La Nature fait tellement bien les choses, vous ne trouvez pas ? Malheureusement, avec le développement de l’agriculture de masse, le sol a commencé à être traité comme un objet et non plus comme un être vivant dont il faut prendre soin.
Quand le sol est malade, nos aliments meurent
Le but de l’agriculture moderne a été de « tirer le maximum » du sol. Comme on essaierait de tirer un maximum de performance d’une machine ou d’un ouvrier.
Pour cela, les industriels de l’agro-alimentaire ont déclaré une véritable guerre contre nos sols.
Ils les ont bombardés massivement d’azote, de phosphore et d’engrais chimiques. Les pesticides de synthèse ont contaminé les sols et détruit la vie microbienne qui s’y trouve.
Avec la destruction de cette vie souterraine, nos aliments se sont appauvris. C’est comme si nous mangions désormais des aliments morts ou presque. Dans son étude publiée en 2004 dans le Journal de l’American College of Nutrition, Donald R. Davis, Professeur à l’Université du Texas a fait ce constat tragique : la valeur nutritionnelle de nombreux fruits et légumes que nous mangeons aujourd’hui est inférieure de 5 à 40% à celle du même produit cultivé il y a 50 à 70 ans. [2]
À l’échelle de la Nature et de la vie sur Terre, la vitesse de ce déclin est vertigineuse. Elle concerne la plupart des nutriments vitaux pour notre santé : protéines, calcium, phosphore, fer, riboflavine, vitamine C, magnésium et bien d’autres encore.
Malgré cette guerre totale de la chimie contre nos sols, il reste un espoir
Chaque jour en France, un agriculteur décide de « passer au bio ».
Il laisse ainsi derrière lui le siècle de la chimie pour entrer dans le siècle de la biologie.
Il y a quelques années, mon beau-frère, viticulteur, a pris cette heureuse décision. Il l’a fait pour la pérennité de son exploitation. Pour la santé de ces terres. Pour sa propre santé. Et pour la nôtre aussi.
Il faut un grand courage pour prendre une telle décision. Elle implique de tout changer. Tout réapprendre. Le risque financier est énorme. C’est une véritable révolution.
Pourtant, après plusieurs années difficiles, il se félicite désormais chaque jour de sa décision. Son exploitation n’a jamais aussi bien marché. Son travail est désormais plus respectueux d’une terre qui l’a fait vivre lui et ses ancêtres depuis des générations. Ses raisins sont redevenus de petites merveilles de la Nature, saines et bénéfiques pour la santé.
Si je vous parle de mon beau-frère viticulteur, c’est parce que je crois que chacun de nous gagnerait à faire cette révolution dans notre vie.
La Révolution Bio réveille la vie sous nos pieds
Comme pour les agriculteurs qui « passent au bio », « consommer bio » nécessite un certain effort, j’en fais moi-même régulièrement l’expérience et j’y travaille, avec mon épouse.
Il faut changer des habitudes parfois ancrées depuis des décennies dans notre vie quotidienne. Il faut aussi accepter de payer parfois plus cher certains produits. Toutefois, les bénéfices de cette démarche sont sans commune mesure avec les efforts à consentir. Les preuves scientifiques sont désormais suffisamment nombreuses pour nous en convaincre.
D’abord pour notre planète : l’agriculture biologique revitalise les sols et tout leur écosystème. Les sols des fermes en agriculture biologique recèlent des quantités plus importantes de matière organique (vivante), estimées à 37,4 tonnes par hectare de carbone organique, contre 26,7 en agriculture conventionnelle. [3] L’utilisation des pesticides chimiques recule.
L’agriculture bio favorise les prairies, le repos de la terre, la plantation de haies, la diversité des cultures. Ces pratiques augmentent le nombre de plantes, d’araignées, de vers de terre, de coléoptères, d’oiseaux ou encore de mammifères. L’accroissement des ressources alimentaires à disposition sert aussi des espèces dites auxiliaires — chauves-souris, hérissons, reptiles ou certains insectes et acariens.
Grâce à l’agriculture biologique, la Nature vit une véritable renaissance. Elle reprend ses droits. Et elle nous le rend au centuple.
Le bio redonne des couleurs à vos aliments
En 2014, une étude d’une ampleur sans précédent a été menée par des chercheurs de l’université de Newcastle et publiée dans le British Journal of Nutrition. [4]
Cette étude révèle des résultats prodigieux car les produits issus de l’agriculture biologique contiendrait en moyenne :
- 60% d’antioxydants en plus que l’alimentation conventionnelle, en particulier dans les fruits : 19% d’acides phénoliques, 69% de flavanones, 28% de stilbenes, 26% de flavones, 50% de flavonoles et 51% d’anthocyanines. Ces substances naturelles nous protègent contre pratiquement toutes les maladies.
- Une teneur plus élevée en vitamine C dans les produits d’origine biologique.
- Concernant les minéraux : les teneurs dans les produits bio sont plus importantes de 95% en molybdène, de 5% en zinc. Malheureusement, pour le magnésium, ce minéral indispensable à la vie, cette augmentation n’est que de 4%. C’est d’ailleurs l’une des raisons qui explique pourquoi je recommande régulièrement de prendre un supplément de magnésium, même si vous consommez des aliments bio.
- Une teneur moins importante en métaux lourds et résidus de pesticides dans l’alimentation d’origine biologique : 48% de cadmium et 30% de nitrates en moins. En moyenne, les teneurs en résidus de pesticides seraient 4 fois moins importantes dans les produits bio.
Plus de nutriments. Moins de substances chimiques. Nos aliments redeviennent notre meilleur allié pour vivre en bonne santé.
Manger bio diminue de 25 % le risque de cancer
C’est ce que révèle une étude publiée en 2018 dans la revue scientifique JAMA Internal Medicine.
Et cette première mondiale a été réalisée par des chercheurs français :
«On sait depuis longtemps que les produits bio sont souvent plus riches en nutriments, qu’ils ont moins, voire aucun résidu de pesticides, concède Denis Lairon, directeur de recherche émérite à l’Inserm, mais on ne connaissait pas leur impact sur la santé. Nous avions déjà montré que chez les jeunes qui consomment plus de bio, il y a moins de risque d’obésité et de diabète. Mais sur le cancer, il n’y avait qu’une étude anglaise rudimentaire publiée il y a quelques années. La nôtre est la première étude approfondie sur le sujet». [5]
L’étude exploite en effet les résultats obtenus entre 2009 et 2016 auprès de presque 70’000 participants dont 78 % de femmes. 1300 cas de cancers ont été étudiés. Pour la première fois, les chercheurs ont réussi à prendre en compte la diversité des facteurs de risque pouvant impacter cette relation entre alimentation bio et cancer (poids, antécédents familiaux, tabagisme, niveau d’éducation, etc.).
Ce tour de force scientifique prouve définitivement que manger bio est meilleur pour la santé
Les chercheurs ont en effet établi une corrélation entre la consommation d’aliments bio et la réduction du risque de cancer, tous types confondus.
Cette réduction du risque était d’autant plus importante pour les cancers du sein chez les femmes ménopausées d’une part (-34%) et les lymphomes d’autre part (-76%) car ils sont particulièrement liés au niveau d’exposition aux pesticides.
Chaque fois que vous préférez un aliment bio à un aliment industriel ou issu de l’agriculture conventionnelle, vous faites pencher la balance de la santé en votre faveur. C’est un fait scientifiquement prouvé. Irréfutable. C’est aussi un immense espoir pour l’avenir.
Ce n’est pas tout : il y a un autre bénéfice caché lorsque vous mangez bio. Il n’intéresse pas les scientifiques car il est difficile à quantifier par la science dure. Pourtant je crois qu’il est vital pour chacun de nous.
Vous renouez une relation intime avec la Nature
Je suis pratiquement sûr que vous en avez fait l’expérience.
Lorsque vous mangez bio, vous renouez avec le goût véritable des aliments. Leur texture. Leurs couleurs. Leurs formes. Leur diversité. Pour les personnes qui, comme moi, mangeaient peu d’aliments bio, c’est chaque fois une redécouverte. Un réveil de tous nos sens. La sensation de vivre un moment authentique.
Ces sensations particulières ont-elles un quelconque bénéfice pour notre santé ? Je ne sais pas. Pourtant je crois, au fond de moi, que renouer un lien intime avec la Nature est un besoin vital en chacun de nous.
Et qu’y a-t-il de plus intime que de porter à notre bouche ces aliments remplis de vie et provenant de notre terre nourricière. De les goûter. De leur ouvrir le passage vers l’intérieur de notre corps. Et de les accueillir dans chacune de nos cellules ?
Prenez soin de vous,
Léopold Boileau
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Sources
[1] https://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/agriculture/l-interet-du-non-labour-confirmee_107236
[2] https://experiencelife.com/article/got-soil-why-healthy-humans-need-healthy-soil/
[3] Andreas Gattinger et al., « Enhanced top soil carbon stocks under organic farming », PNAS, vol. 109, no 4, Washington, DC, 30 octobre 2012.
[4] Br J Nutr. 2014 Sep 14;112(5):794-811. doi: 10.1017/S0007114514001366. Epub 2014 Jun 26. Higher antioxidant and lower cadmium concentrations and lower incidence of pesticide residues in organically grown crops: a systematic literature review and meta-analyses.
[5] https://www.ladepeche.fr/article/2018/10/24/2894348-alimentation-bio-ce-que-disent-les-chercheurs-francais.html
Je mange bio depuis quelques années. Je me sens en forme et depuis cette année, je suis passée à une alimentation crue le plus souvent possible donc essentiellement fruits et légumes. J’ai déjà diminué de moitié mon l thyroxine pour mon hypothyroidie.
Je conseille à tous de passer au bio pour diminuer le risque de maladies diverses.
Fabienne
Non seulement j achete bio chez les petits producteurs du coin mais en plus je cultive mon potager sans produits chimiques qui m assure la nourriture une bonne partie de l’année sans compter les poules pour les oeufs. J’ai restrain la quantité de viande
Depuis que nous sommes en retraite, nous nous appliquons a jardiner dans l’esprit permaculture.
Nous avons la chance d’avoir une grand terrain associé a notre habitation et y avons installé des bacs de récupération dans lesquels on jardine tous les ans.
Une serre également.
Nous recoltons suffisamment de fruits et légumes pour nos enfants et nous même.
Nous avons l’avantage de manger sain .
Parallèlement, on voit les passages des tracteurs associés aux tonnes a traiter ,régulièrement tous les jours …
A partir du moment ou les plants sont en terre , le travail des agriculteurs consiste à traiter et encore traiter …
Le tout bio n’est pas pour demain.
Le pourcentage des convertis au bio reste minime .
Gardons l’espoir qu’ils prendrons un jour conscience qu’ils s’empoisonnent et enpoisonnent tout leur environnement !!!
Michel
j’ai 82 ans, mon mari et moi sommes en bonne santé et nous mangeons bio depuis au moins 40 ans
mon mari ne met rien dans son jardin, les légumes sont excellents
une année ça pousse, une autre non, la terre et les petites graines font ce qu’elles peuvent !
faire ses courses dans une coop bio est un plaisir !
et ne dites pas que c’est trop cher, combien dépensez-vous pour vos téléphones, tablettes, etc… ?
manger bio est un choix de vie
amitiés
Eliane
Nous avons 72 ans et depuis 40 ans que nous consommons bio . Depuis 7 ans que mon époux cultivait le jardin en permaculture , une terre argileuse et sans vie du fait d’un ancien jardin chimique. Nous avons nourri la terre, fumier de cheval , paille, broyat de végétaux et nous avons eu les remerciements de tous les organismes qui ont peuplés cette terre. La famille, les voisins ont pu apprécier ces légumes gorgés de vitamines. Malheureusement , nous avons du déménager et actuellement nous sommes en train de repartir à zéro car la terre est morte (l’ancien propriétaire ayant mis que des engrais chimiques). Nous sommes en super forme pour notre âge et nous transmettons à nos petits enfants le plaisir de cultiver la terre, de se nourrir correctement pour nous bien sûr mais surtout pour que les génération futures soient moins malades. Nous espérons que l’humain après cette épidémie, sortira plus fort et surtout qu’il réfléchira sur ce qui est important pour lui et la planète. Je tiens à dire que nous ne sommes pas paysan et enfant de paysan il suffit de vouloir pour avancer .
Oui je mange Bio depuis plusieurs années. Je confirme tous les bénéfices que vous avancez tant pour la qualité gustative que pour la santé. J’ai banni l’alimentation industrielle et les médicaments chimiques depuis un bon bout de temps et je me porte à merveille.Je ne suis plus jamais malade pourtant j’ai ne suis plus toute jeune!
Je lis tous vos missives avec bonheur. je vous remercie pour tous ces conseils qui ouvre des perspective
insoupconnées. j’ ai pratiquement enregistré tout vos mails pour pouvoir les transfèré à mes contacts
de fa çon ciblé
je vous ai commencé un long courrier qui parle de moi, de mon parcours, de ma santé, de mes états
d’ ame , de mes craintes, . J’ espère que vous pourrez m’ aider.
Trés cordialement. Elisabeth GUY
pourquoi ne pas acheter les légumes Bio surgelés qui ne perdent pas leur vitamines à ce que je crois ?
qu’en pensez vous ?
J’ai la chance d’habiter à la campagne et de pouvoir faire un petit jardin où je cultive l’essentiel de mes légumes s de façon bio biensur et je trouve l’hiver sur un petit marché ce que je n’ai pas dans mon jardin. Je fais des économies et je sais ce que je mange. Sans vous parler du goût des tomates et des salades. Oui ces dernieres ont du goût…
bonjour, oui, c’est certain manger bio c’est bon pour la santé. Mes parents déjà quand j’étais plus jeune (j’ai 65 ans) alors que l’on ne parlait pas encore d’écologie ou de bio, achetaient leur produit chez les petits fermiers, qui n’utilisaient pas de produits chimiques.
Donc j’ai été habitué dès le plus jeune âge, à rechercher les bons produits. Cependant, lorsque je vais dans les magasins bio, je n’achète pas les légumes, car ils sont flétries la plupart du temps. Et que l’on me dise pas que c’est normal. Une salade, un poireaux et autres, perdent leur vitamines et nutriments s’ils ne sont pas consommés rapidement. Donc, je continue de me fournir en frais chez les petits producteurs et je les consommes sous 48 h maximum. C’est plus goûteux et agréable. Alors, n’oubliez pas de préciser de consommer les légumes rapidement sinon ce n’est pas la peine de consommer bio, surtout que les prix sont plus élevés. alors encore on parle que cela demande plus de travail, je suis d’accord, mais il y a le coût des traitements chimiques en moins.
Donc il n’y a que les privilégiés qui peuvent se permettre d’acheter bio, les autres se contenteront des produits acheté dans les grandes surfaces.
Bonjour cher ami,
effectivement se nourrir avec des aliments non contaminés par la chimie de synthèse est un geste que tous le monde devrait pouvoir faire au quotidien.
Malheureusement les aliments sains sont de plus en plus difficile à trouver.
Pour mon cas personnel, je cultive mes plantes dans mon potager avec un apport de matière organique naturelle. Soit de l’humus récolté sur les berges d’une rivière loin de toute polution.
du crotin de cheval en liberté, rustique et n’ayant pas besoin de soins vétérinaire avec antibiotique.
Culture de plantes tel que Conssoude, Bourrache, Ortie, Prêle, etc. …
Cela s’appele “Permaculture” de plus en plus de citoyens prennent conscience de cette évolution
et il y a bon espoir pour le développement et l’état d’esprit de culture naturelle.
Cordialement Marti
Je cultive bio depuis plus de 7 ans et produits mes propres graines moi-même…. Je mange bio depuis plus de 3 ans Je ne mange plus de viande ou que bio depuis 2 ans. Je fais vivre les agriculteurs bio qui n’ont pas la PAC eux et dont le gouvernement français est fabuleusement en retard pour leur verser des aides financières On préfère de loin aider les empoisonneurs… Normal selon le projet du Président qui souhaite tous nous mettre sous médicaments chimiques une fois que l’on sera tous malades….. a bas les huiles essentielles, les herboristes et l’homéopathie, il faut que les chimistes gagnent plein de sous et que l’on soit tous malades, y compris via les vaccins !
je mange bio ET végétarien depuis plus de 50ans ! j’ai presque 86ans et me porte très bien ! !
vie claire dès le début .
BONJOUR
OUI NOUS MANGEONS BIO DEPUIS DEJA QUELQUE TEMPS ET ON SE SENT MIEUX ON MANGE MOINS MOINS MAIS PLUS SAIN ET NOUS FAISONS NOS COURSES LE PLUS SOUVENT POSSIBLE DANS DES MAGASINS BIO COMME BIOCOOP OU SAINT BIOZ QUI SONT DES MAGASINS INDEPENDANTS A CEUX ET CELLES QUI PENSENT QUE C EST PLUS CHER IL FAUT SAVOIR QU EN ACHETANT MOINS ET MIEUX ON ECONOMISE AUTANT ET QUE POUR NOTRE SANTE VAUT MIEUX MANGER UN STEACK HACHE BIO DE 100 GRAMMES QUE DEUX ACHETES ET LE TROISIEME GRATUIT QUE L ON VA MANGER TRES VITE DE PEUR QUE CELA S ALTERE ET DE PLUS PAS DE GACHIS PAS DE PROMOS OU L ON REMPLI SON CADDIE DE CHOSES INUTILES POURQUOI TROIS TABLETTES DE CHOCOLAT ALORS QU UN CARREAU DE CHOCOLAT BIO A LE MEME EFFET QUE 4 CARREAUX DE CHOCOLAT ORDINAIRE DE PLUS NOUS PROTEGEONS ET SOUTENONS LES PRODUCTEURS BIO ET EQUITABLES ALORS SI CST UN PROBLEME DE REVENUS ON PEUT TOUJOURS SE RABATTRE SUR LES PRODUITS BIOS DE LA MARQUE DU SUPERMARCHE MEME SI CE N EST PAS FORCEMENT LA MEME QUALITE MAIS C EST UN GRAND PAS EN AVANT QU IL S AGIT DE CONSOLIDER
Votre lettre est tout à fait juste. Il faut aller avec la Terre et non contre elle; elle est plus forte que nous.
J’aimerais mettre l’accent sur l’importance de préserver les abeilles, sans qui nous n’aurions pas beaucoup de vie sur notre belle planète.
Elles sont décimées par le bombardement des produits nocifs utilisés à outrance par les industries agroalimentaires et l’agriculture à grande échelle.
Bonjour, j’aurais 71 ans en juin prochain, j’ai découvert le bio il y a 35 ans, suite ,à une allergie qui ne guérissait pas et me faisait mourir doucement, j’ai alors rencontré un naturopathe, depuis je mange bio, je me soigne par homéopathie, et par moi même, mon mari et moi ne prenons aucun médicament, je cultive mon jardin bio depuis 20 ans, et j’ai toujours de beaux légumes. Merci pour vos courriers
nous somme membre d’une coop bio dans le Val d’Oise depuis 30 ans c’est conviviale et bon pour la santé
Je fais partie des personnes qui mangent bio et particulièrement les fruits et légumes mais je déplore que, même en bio, les légumes ont perdu leur saveur, ils n’ont plus le même goût qu’avant probablement à cause des variétés cultivées. En effet on recherche des légumes qui ne prennent pas la maladie, qui produisent beaucoup mais malheureusement tout cela au détriment du goût ce qui est bien regrettable. De plus je me demande quels sont les contrôles pour les maraîchers qui produisent du bio et quelle est leur fréquence ? De ce fait on peut se demander si ce qu’on nous vend à un prix élevé est toujours vraiment du bio car il y a sûrement des petits malins qui ne cherchent qu’à s’enrichir. Dans la société actuelle, il n’y a plus que l’argent qui compte mais, malgré cela, je continuerai à acheter du bio, du moins tant que mes finances me le permettront, ce qui est loin d’être certain.
Je viens de lire votre article très intéressant sur la qualité des sols pour les cultures.
J’aimerai savoir si l’on peut faire quelque chose dans une région où il y a le radon.
Merci pour vos articles.
J ‘ai découvert les travaux d ‘Henri Geoffroy fondateur de la “VIE CLAIRE “en 1956 grâce à une amie de mon âge elle même informée par ces parents A partir de la naissance de mes enfants je me suis appliquée à nourrir ma famille en suivant les conseils de cet ingénieur en agronomie et au fur à mesure des années nous avons mangé de plus en plus “bio” sous les moqueries de ma famille et des amis Ce fut il faut le reconnaître le seul lux dont nous avons bénéficié avec un toit bien à nous Tout ce que craignait et prédisait Henri Geoffroy concernant les maladies de la fin du XXème siècle s ‘est malheureusement réalisé et les produits chimiques qu’ il dénonçait ont été de plus en plus employés Mes enfants ont continué à se nourrir en bio Il y a toujours eu des lanceurs d’ alerte mais ils crient en général dans le désert
Nos enfants et petit enfants qui veulent défendre le climat sont ils prêts à renoncer aux téléphones portables de plus en plus sophistiqués? Prêts à refuser la domination de l ‘ordinateur à l ‘école ?? aux voyages en avion multiples et variés( qui d’ailleurs il faut le reconnaître sont moins chers que le train) ???enfin sont ils prêts à une consommation en décroissance de l ‘inutile et du gadget ????
Toutes les semaines nous avons un panier de légumes et fruits biologiques
Cela nous a permis de retrouver des légumes oubliés et ils sont très bons
De plus nous faisons vivre des paysans correctement et nous participons ainsi à l’essor des paysans bio et une meilleure terre