Dans le monde de la médecine, quand vous sortez du rang, c’est mission-suicide à tous les coups !
L’histoire que je vais vous raconter s’est passée il y a 18 ans en Angleterre.
Je vous la raconte pour deux raisons.
La première est qu’elle témoigne de l’absurdité de notre système médical. Ce qui s’est passé cette année-là en Angleterre est parlant par rapport à ce que nous vivons aujourd’hui en France.
La seconde raison est que cette histoire a marqué un tournant dans la manière dont on diagnostique l’hypothyroïdie, une maladie qui concerne des millions de personnes et dont vous pourriez souffrir sans le savoir.
En 2001, le Docteur Durrant-Peatfield, un « petit » médecin de campagne anglais, était radié par l’Ordre des Médecins – – son crime ?
Dire la vérité à ses patientes !
Les patientes du Docteur Durrant-Peatfield souffraient d’apathie grave, de dépression, de douleurs dans tout le corps. Certaines perdaient leur cheveux par poignées entières !
Elles avaient effectué un test sanguin pour évaluer leur thyroïde mais ces femmes étaient « dans la norme » édictée par l’Ordre des Médecins anglais. Alors leurs médecins n’osaient rien faire et les laissaient à leur désespoir.
C’est là, après des années de souffrance, qu’elles frappaient à la porte du Docteur Durrant-Peatfield. Pour lui, les résultats de leurs tests sanguins, seuls, ne permettaient pas d’exclure à coup sûr l’hypothyroïdie.[1]
Pour établir ce diagnostic, le Docteur Durrant-Peatfield était convaincu qu’il fallait aller plus loin.
Alors, plutôt que de se limiter à ausculter les résultats sanguins de la patiente… il auscultait LA patiente.
Mais vous imaginez un peu ce culot ?!!
Un médecin de campagne qui ne se contente pas de lire bêtement des résultats sanguins mais qui, alors que l’Ordre tout-puissant ne lui a rien demandé, interroge sa patiente sur des choses aussi cruciales que… Ses symptômes. Ses facteurs héréditaires. Son alimentation ?!
Le Docteur Durrant-Peatfield auscultait et guérissait ces femmes qui souffraient d’hypothyroïdie. Il le faisait en suivant une approche globale et de bon sens qui prenait les résultats des tests sanguins pour ce qu’ils étaient : un indice parmi tant d’autres.
Car pour lui, toutes les autres pièces du puzzle qu’il réunissait sur chacune de ces patientes forgeaient sa conviction : elles souffraient d’hypothyroïdie et il fallait les soigner, tout simplement. Pour cela, il devait faire plus que le strict minimum imposé par l’Ordre des Médecins. Et cela a suffi à le faire radier à vie.
Heureusement, l’histoire ne s’arrête pas là. Dix-huit ans plus tard…
La science donne raison au bon docteur Durrant-Peatfield !
Pour diagnostiquer l’hypothyroïdie, les résultats d’un test sanguin ne suffisent pas.
Les meilleurs spécialistes en sont aujourd’hui convaincus et prônent la réalisation d’examens cliniques plus larges.
Bien sûr, cette évolution des pratiques n’aura rien changé à la fin de carrière du Docteur Durrant-Peatfield.
Il fera partie, à tout jamais, de ces médecins maudits dont la plus grave erreur aura été de s’opposer à une institution froide, autoritaire et complètement déconnectée de la réalité des patients. Sur ce point, la France n’a d’ailleurs malheureusement rien à envier à l’Angleterre car l’Ordre des Médecins attaque systématiquement et sans discernement tous ceux qui osent questionner ses directives (Professeurs Joyeux, Even…). Et tant pis pour les patients !
Mais aujourd’hui, pour des millions de personnes souffrant de la thyroïde, la brèche entrouverte par le docteur Durrant-Peatfield a permis des avancées majeures pour améliorer le diagnostic.
C’est d’autant plus important que l’hypothyroïdie est l’origine cachée de nombreux autres problèmes de santé que l’on a tendance à sous-estimer.
Quand votre corps se met à tourner au ralenti : c’est l’âge ou votre thyroïde ?
Votre thyroïde est l’une des plus petites glandes de votre corps, située dans votre cou juste en-dessous de la pomme d’Adam.
Elle a la forme d’un papillon et bien qu’elle soit minuscule, c’est l’une des glandes les plus puissantes de votre corps. Elle sécrète des hormones impliquées dans à peu près toutes les fonctions cruciales de votre organisme – cœur, système digestif, cerveau.
Du coup, lorsque votre thyroïde ralentit, les conséquences sur votre santé sont nombreuses et particulièrement pénibles.
Le diagnostic de la thyroïde est complexe. Un simple contrôle sanguin ne suffit pas dans la plupart des cas.
En plus, les symptômes sont multiples et diffus. C’est la raison pour laquelle beaucoup de personnes souffrent d’hypothyroïdie pendant des années sans le savoir et sans en parler à leur médecin !
Les manifestations les plus précoces et les plus fréquentes d’une hypothyroïdie
La plupart des patients souffrant d’hypothyroïdie parlent d’une fatigue intense, qui dure.
Comme la plupart des cas se révèlent après 50 ans, vous pourriez croire que cette baisse de forme est liée à l’âge. C’est totalement FAUX.
Les personnes souffrant d’hypothyroïdie évoquent aussi une grande frilosité. Une prise de poids inexpliquée alors même qu’ils ont moins d’appétit. Tous ces signes sont les conséquences d’un ralentissement du métabolisme, le premier système impacté par l’hypothyroïdie.
En cas d’hypothyroïdie, vous pourriez également ressentir des douleurs dans les articulations ou les muscles. Avoir une peau pâle et sèche. Des ongles et des cheveux fragiles et cassants. Des pieds et mains gonflées. Des problèmes de sommeil. La voix enrouée. Des problèmes menstruels. De la constipation. Être déprimé (vous n’avez plus le goût de faire des choses qui vous plaisaient avant). Un autre signe étrange et caractéristique de l’hypothyroïdie est la perte du tiers externe des sourcils. Ce n’est pas systématique mais c’est un signe si particulier qu’il constitue un excellent révélateur.
Si vous avez des antécédents de problèmes de thyroïde dans votre famille, si vous souffrez de la maladie coeliaque, de la polyarthrite rhumatoïde, de la sclérose en plaques, du lupus, d’allergies – votre risque d’hypothyroïdie augmente encore.
Si vous faites l’expérience d’au moins trois de ces symptômes, je vous encourage vivement à aller plus loin dans votre investigation.
Hypothyroïdie : test facile (et presque infaillible) à faire chez vous
Procurez-vous un thermomètre à mercure ou au galinstan et placez-le à votre chevet.
Secouez-le à 35 ° C avant de vous coucher. Dès que vous vous réveillez le matin, avant de vous lever, de manger ou de boire, placez le thermomètre sous votre aisselle pendant 10 minutes et notez la température. Assurez-vous de le placer contre votre peau avec la pointe tournée vers le haut, en contact avec votre aisselle.
Ce test vous permet de mesurer votre température basale, la plus basse de la journée. Votre température doit être prise pendant 4 jours consécutifs. Si pendant cette période votre température est au-dessous de 36.5°C, cela signifie que votre corps ne produit plus l’énergie suffisante dont votre corps a besoin. Et c’est l’un des meilleurs indicateurs d’hypothyroïdie.
Ce test a été popularisé par le Dr Broda Barnes, spécialiste américain des problèmes de thyroïde.[2] Certaines recherches ont en effet montré qu’une température basse est fortement corrélée avec une faible activité de la thyroïde.[3]
Il est temps de confirmer le diagnostic (ou l’infirmer)
Pour cela, rendez visite à votre médecin dès que possible.
Faites-lui part de ce que vous ressentez, observez. S’il vous propose de vérifier l’état de votre thyroïde, il commencera par vous prescrire une analyse de votre taux de TSH.
C’est le test de base, voire basique. À lui seul, le test de la TSH ne suffit pas pour diagnostiquer un problème de thyroïde. Le niveau idéal pour la TSH se situe entre 1 et 2 mUI / L (milli-unités internationales par litre) pour une fonction thyroïdienne optimale. Il est souvent nécessaire de ramener la thyréostimuline légèrement en-dessous de 1 chez certains patients pour obtenir un soulagement optimal des symptômes.
Le dosage de la TSH n’étant pas suffisant, les meilleurs spécialistes en recommandent désormais deux autres et vous pouvez tout à fait demander à votre médecin de les réaliser.[4]
Deux tests complémentaires à demander à votre médecin
Test complémentaire n°1. La T4 libre et la T3 libre
Il est essentiel de tester la T3 libre et la T4 libre, les hormones thyroïdiennes actives et inactives. La T4 est l’hormone produite par la glande thyroïde et convertie en la forme active de T3 (principalement dans le foie). Le stress, les métaux lourds (tels que le mercure), les produits pétrochimiques, les infections et les levures peuvent altérer ce processus de conversion, empêchant votre corps de fabriquer des quantités adéquates de l’hormone active T3. Par conséquent, la TSH et la T4 libre peuvent être normales alors que la T3 libre est anormale.
Le niveau normal de T4 libre est généralement compris entre 0,9 et 1,8 ng / dl (nanogrammes par décilitre). Le niveau de T3 libre normal est compris entre 240 et 450 pg / dl (picogrammes / décilitre), en fonction des mesures de laboratoire. Cependant, les plages de référence pour les tests de laboratoire sont souvent basées sur des «populations normales». (Rappelez-vous que «normale» signifie la moyenne de la population, pas nécessairement l’idéal.)
Test complémentaire n°2. Les anticorps thyroïdiens
Les autres tests les plus importants concernent les anticorps thyroïdiens, y compris les anticorps thyroïde peroxydase et les anticorps anti-thyroglobuline, qui recherchent une réaction auto-immune de la thyroïde.
En suivant ces recommandations, vous avez l’assurance de savoir ce qu’il se passe vraiment dans votre corps si vous soupçonnez avoir un problème de thyroïde. Passons maintenant aux traitements.
Lévothyrox : on fait le point
En cas d’hypothyroïdie, l’hormone de synthèse la plus prescrite est la thyroxine (T4) sous forme de lévothyroxine sodique en comprimé. C’est le désormais célèbre « Levothyrox ».
Depuis de nombreux mois maintenant, le Levothyrox défraye la chronique. Tout a commencé quand son fabricant, le laboratoire Merck, a subitement changé la formule, entraînant une vague terrible d’effets secondaires chez près de 300’000 patients français (le Parquet de Marseille a même ouvert une information judiciaire pour homicide volontaire)[5].
Sous la pression des associations de défense des patients, Merck a finalement décidé de fournir encore l’ancienne formule, bien tolérée par les patients, en 2019. Mais rien n’est fixé pour l’avenir.
Généralement, ce médicament corrige les symptômes de l’hypothyroïdie en quelques semaines. Exceptionnellement, le médecin peut prescrire de la T3 en association à la T4, en traitement temporaire.
Malgré les résultats corrects de ces traitements, retenez que chaque protocole doit être adapté à chaque situation.
Rappel important pour les personnes sous traitement
Un suivi médical (comprenant un test sanguin) a lieu généralement quelques mois après le début du traitement, puis chaque année ou en cas de signes d’hypo ou d’hyperthyroïdie.
Il permet de vérifier que la dose administrée convient toujours à vos besoins.
Mais plus important encore que ces contrôles, vous devez prêter une attention toute particulière à vos symptômes. S’améliorent-ils ? Empirent-ils ? De nouveaux symptômes apparaissent-ils ? Ces médicaments agissent puissamment. Surveillez leurs effets dans votre corps.
Gardez aussi à l’esprit, que ces traitements chimiques ne traitent que le symptôme, c’est-à-dire l’affaiblissement de votre thyroïde.
Si vous voulez aller plus loin, vous devez remonter aux origines de cette hypothyroïdie et pour cela, vous pouvez vous orienter vers des moyens naturels. Votre médecin ne vous en parlera probablement pas alors qu’ils existent.
Aider votre thyroïde, naturellement
Plusieurs facteurs liés à notre mode de vie favorisent le développement de l’hypothyroïdie.
Il y a le stress, le manque d’activité physique, une exposition trop importante aux perturbateurs endocriniens. Les spécialistes recommandent également la prise de certains nutriments connus pour soutenir la fonction thyroïdienne.[6]
C’est le cas de l’iode, un nutriment essentiel que vous pouvez obtenir à partir de sel iodé; attention ce n’est pas celui que vous trouvez dans le sel de table. Vous en trouvez dans les algues, comme le wakamé ou en complément alimentaire.
Les acides gras oméga-3 jouent un rôle important dans la production d’hormones thyroïdiennes. Vous en trouvez dans les graines de lin, les sardines et le saumon sauvage.
La vitamine D aide l’hormone thyroïdienne T3 à se lier au récepteur qui contrôle la fonction des gènes et notre métabolisme global. Des doses élevées de vitamine D de 5000 à 10000 unités par jour pendant plusieurs mois peuvent être nécessaires. À long terme, 1000 à 2000 unités par jour suffisent.
Le sélénium est également essentiel. Il aide à convertir la T4 en T3 et permet la production de l’hormone thyroïdienne active. Les noix du Brésil en contiennent de bonnes quantités. Le zinc est également important pour la fonction thyroïdienne et peut être trouvé en quantité suffisante dans les fruits de mer (en particulier les huîtres), le poulet, le foie, les épinards. Les vitamines B sont également essentielles à la fonction thyroïdienne. On les trouve dans les grains entiers, le foie et les légumes à feuilles vertes.
Et alors que je vous transmets ces informations précieuses pour votre santé, je pense à tous les médecins courageux, célèbres ou anonymes qui, comme le bon Docteur Durrant-Peatfield, mettent en jeu leur carrière et parfois plus encore pour le bien de leurs patients et, quelque part, pour notre bien à tous.
Prenez soin de vous,
Léopold Boileau, Votre correspondant
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Sources
[1] http://news.bbc.co.uk/2/hi/health/1332644.stm
[2] Hypothyroidism: The Unsuspected Illness Hardcover – January 1, 1976 by Broda Barnes
[3] J Manipulative Physiol Ther. 1996 Jan;19(1):6-12. Basal metabolic temperature vs. laboratory assessment in “posttraumatic hypothyroidism”. Sehnert KW1, Croft AC.
[4] The Ultra Thyroid Solution, Mark Hyman, 2008
[5] http://www.lavoixdunord.fr/534475/article/2019-02-07/les-principales-etapes-de-l-affaire-du-levothyrox
[6] The Ultra Thyroid Solution, Mark Hyman, 2008
Bonjour, je vous remercie pour toutes ces informations que vous avez publiées. J’ai consulté fin janvier un médecin anti âge ne pouvant plus supporter toutes les douleurs et la souffrance que j’avais dû depuis plus de dix ans voir vintg ans.
J’ai commencé par avoir des calculs rénaux en 2008, opérée une première fois, je vais des cures thermales depuis 2003 et je n’avais fait de coliques néphrétiques, ce sont deux infections installées dans les reins qui ont fait qu’on a découvert un très gros calcul. Je risquais de perdre un rein. Puis de l’eczema dans les oreilles non réglés à ce jour,mais beaucoup moins. J’ai découvert il y a 7 ans que j’avais une forte intoxication au mercure, j’ai donc cherché un dentiste que j’ai trouvé près de Bourg en Bresse. J’habite dans les deux sèvres, donc assez loin. Il a trouvé six infections dans des dents dévitalisées. J’avais des plombages. Tout a été retiré en six mois, mais après une préparation du corps de deux mois. Je consulte un naturopathe tous les ans lorsque je fais ma cure thermale. Mais malheureusement, ce là n’a pas suffit à régler mes problèmes.
– fatigue tous les matins j’étais dans le brouillard,
– j’avais peur de prendre ma voiture , peur de m’endormir, alors je chantais seule, je me parlais.
_ Une fatigue intense , épuisée entre 11h et 13 heures.
– Une tension artérielle qui faisait des bons pendant une semaine, puis revenait normale.
– des douleurs insupportables dans les fesses, les cuisses, je ne pouvais pas faire un pas sans souffrir terriblement ( depuis le mois d’octobre dernier jusqu’à fin février)
-des fourmis dans les mains le soir de temps en temps, des fourmis dans le cerveau qui me faisaient peur. Mon père et sa famille ayant eu des problèmes cardio vasculaire
– une chute de cheveux très importante avec un cuir chevelu entièrement recouvert de plaques de psoriasis
– Des diarrhées ou de la constipation
– malgré tous mes efforts de manger bio, de prendre quelques compléments alimentaires en lisant des informations avec Santé nature Innovation et les abonnements que j’ai. Je prenais du poids continuellement.
Ma vitamine D était en dessous de 0, 30 chaque fois que je faisais une prise de sang je demandais personnellement la recherche de la vitamine D l’an passé de 0,25 à 0,27 malgré une prise journalière de 2000 unités. En 2008 j’avais 0.15
– Je n’arrivai pas discuter avec mon médecin, il était toujours remplacé par des jeunes stagiaires, j’en ai vu quatre en deux ans.
– J’ai des nodules depuis plus de trente ans , tant que je travaillais sur Paris j’étais suivi régulièrement, puis rien depuis 2003.- Pas de suivi non plus sur le plan cardiovasculaire. Si des statines que j’ai refusé de prendre au bout de quelques années après avoir lu les livres Du Dr Lorgeril.
Cette visite chez un médecin anti âge, m’a donné une bonne douche : prés diabétique, elle m’a prescrit de la Metaformine ( j’ai un abonnement avec le protocole sur le diabète depuis peu . Une résistance à l’insuline l’HOMA était de 3.97. Mais la glycémie normale. Un traitement pour la thyroide, Levothyrox et bien sûr l’hypertension et ide pour le dessert Une artérite avec sténose serrée de l’Illiaque. j’ai aussi pris le protocole pour la Thyroide il y a quelques semaines. Merci beaucoup pour toutes les informations que vous nous donnez.
Bonjour,
mon hypothyroïdie a été découverte par hasard lors d’un scanner concernant une arrête de poisson dans la gorge…Ne prenant aucun médicament depuis qu’André Passebecq m’a appris le jeûne il y a 50 ans, j’en ai 81, j’ai refusé tout protocole pharmaceutique et le chirurgien qui était désigné pour m’opérer m’a dit que mes analyses sanguines ne le justifiaient pas. Je n’ai pas insisté…
mais, quoique essayant de m’alimenter en suivant autant que possible vos conseils, je ressens des fatigues de plus en plus intenses, suis très sensible à la température,et les résultats d’analyse de 1919 que je trouve douteuses sont; TSH 1,070 (1,510en 02/18),Anti thyro proxydase: 75, anti transglutaminase: inférieur à 3U/ml, Lancocytes:3000/mm3, Hématies: 4.50 000/mm3. Que me conseillez-vous?
bonjour,
on m’a diagnostiqué une thyroidite hashimoto il y a 12 ANS pendant une grossesse qui s’est mal terminée malheureusement mais sans rapport enfin je pense ;
depuis levothyrox qui est passe de 150 à 30 pour une stabilisation depuis six sept ans à 100 meme maintenant ménopausee ; entretemps une nouvelle grossesse excellemment bien déroulee à 43 ANS . maintenant la demoiselle a 10 ANS et n’a rien de ces problèmes de thyroide et c’est très bien ainsi ;
la glande thyroide s’est assechee et n’est plus presente du tout, sans aucune douleur, mais je reste sensible et ne supporte pas le contact d’une main à mon cou, j’ai l’impression que vais m’etrangler,
voila ; merci de m’avoir lue et peut etre pouvoir vous aider dans vos recherches vous pouvez me joindre
Hypothyroïdie congénitale. G presque 53 ans. Sous Levothyrox 150 et 162,5 en alternance. Je ne comprends pas pourquoi je ne maigris pas. Même qd ma TSH est “normale”, je suis tjrs angoissee. Je prends du magnésium dix mois par an. Que dois je faire de plus ?
JE ME BAT DEPUIS DEUX ANS car je fais partie de ses patientes victimes de la nouvelles formule du Levothyrox……j’avais pris 35 kilos !!!!! mon toubib de l’époque me disait “…de moins manger…! je prenais une figue par jour !!) j’étais devenu un légumes. HEUREUSEMENT j’ai été prise en mains vigoureusement. J’ai perdu 30 kilos et ma thyroide va mieux. Malheureusement mon traitement n’est pas remboursé par la sécu….. Bon courage.
Moi aussi, je suis victime de l’hypothyroïdie et je suis en surcharge pondérale, je pèse 114 kilos pour 1 m74. J’aimerais bien savoir ce que je doit faire car moi aussi, je prends du Levothyrox depuis plusieurs années déjà.
Bonjour
vos articles sont remarquables et je vous en remercie !
Pourquoi ne parlez vous pas de l’endocrinologue-psychologie qui soigne l’hyper et l’hypo thyroïde ?
Je me suis soignée comme ça et jamais je n’ai vu revenir les symptômes ! Cette méthode est naturelle et incroyable. Je trouve triste que personne n’en parle jamais.
Bien cordialement
bonjour c’est quoi ça
Bonjour
Je suis sous levothyrox depuis plus de 10 ans , ma glande a rétréci mais est saine Ashimoto).
Je changement de formule m’a beaucoup perturbée et je reprends l’ancienne formule avec bonheur. Mais j’ai constaté,d’après mes analyses sanguines, que le rapport entre l’a TSH et la TH4 était inversé avec la formule modifiée. Il est redevenu normal, pour moi, avec la reprise de l’ancienne formule.
Je pense que c’est important, même si ces 2 valeurs sont toujours restées dans les normes. Je l’ai signalé à mon médecin.
D’autres patients ont-ils fait ces constatations ?
bonjour on a plus le lévotirox ancienne formule ma vie est un enfer……… tous les autres ne me vont pas du tout
Bonsoir et merci de votre message à propos des problèmes de thyroîde :”mon” médecin prend du Levothyrox de même pour
la dermatologue qui me soigne ! Ayant moi même été professionnelle de santé j’ai une amie qui travaille dans un service d’hopital :tous les professinnels de son service souffrent d’hypothyroîdie y compris un soignant !! Quelle est la cause de temps d’atteinte
J’ai été voir homéopathe ,acuponcteur
Dans un courrier datant de plusieurs années ,j’avais découvert la nécessité du zinc et du sélénium , je mange des huitres ,ou des coques ou des moules + wakamé + vitamines B depuis au moins 7 ans + homeopathie iodum thyroîdinum mais rien ne change
Que peut on faire d’autre pour que les symptomes Merci de nous apporter plus d’espoir ,je refuse le Levothyrox et j’ai 75 ans
Merci pour les infos je suis une opérée depuis longtemps . Je ne mange pas des graines de lin mais tous les jours des graines de chanvre ,cette année je me suis également mise à la vitamine D
manque d’iode….. manque d’iode voir www sott iode lire le livre la crise de l’iode tous carencés de lynne Farrow ed angles
une des causes c’est les produits toxiques
J’en prends depuis 4mois et ma vie a changé Lugol à acheté par internet.
Bonjour,
En général l’hypothyroïdie est toujours à l’honneur.
Et l’hyperthyroïdie : pourquoi si peu d’écrit ?
Merci
cordialement
Martine
Le 20/02/2019 à 08:59, Léopold Boileau – Explora Santé a écrit :
Est ce qu’ il existe une page Facebook … s’il vous plait ? A votre adresse courriel … ou autre ? Merci pour votre réponse …
Merci infiniment pour cet article très documenté et très clair. Mon expérience personnelle confirme parfaitement votre analyse. Je vous sais gré, en particulier, des conseils de médecine naturelle préconisant omega 3, vitamine D, selenium et iode que je vais derechef mettre en application. Continuez, s’il vous plaît, à bien nous informer !